Nous voilà partis! Enfin partis est un bien grand mot puisqu’une bonne dizaine d’heures de vol nous sépare du Japon.
Tout d’abord, savourons les joies simples des aéroports où tous les prix du marché doublent sans que personne ne semble le remarquer.
Un coca à plus de trois euros, un bueno à presque deux! A croire que les boutiques sont de mèche avec la santé publique pour nous empêcher de manger des sucreries. Heureusement qu’une partie de Street Figther 5 sur une borne PS4 a su faire oublier ce petit désagrément (hé oui certains non pas eu l’honneur d’être sélectionnés pour une béta).
Malgré une escale au pays de la choucroute, le vol s’est plutôt bien passé, Julia Roberts nous a lu les consignes de sécurité et des nuages roses entouraient notre avion. Bref tout a filé droit et qui plus est, la nourriture servie à bord était tout à fait comestible.
Après 8 heures de vol, le mélange fatigue et films pourris (comme quoi les attentes qu’on se fait d’un film ne sont pas forcément justifiées) commençait à faire son office et le moment venu de l’atterrissage sur le sol nippon, les cernes aux yeux n’étaient pas les seules valises qu’on devait se coltiner jusqu’au quartier d’Otsuka.
Une vingtaine de minutes et des escaliers trop abruptes plus tard, les bagages étaient vidés et notre petit logement près à nous accueillir pour un bon bout de temps.
A vrai dire, cela reste un exploit qu’on est pu se traîner jusqu’au combini pour se nourrir ce soir au vu du niveau de fatigue qui nous plombait la tête. Rester devant la serrure de son appart pendant dix minutes à essayer de le fermer aurait du nous mettre la puce à l’oreille mais que voulez vous, nous sommes des aventuriers ^^
A la lecture de ces mots, nous sombrons peu à peu à l’appel de la couette…