Quand une journée commence, les objectifs ne sont pas forcément fixés. Visite de quartier, journée off, shopping, tout se fait le plus souvent au jour le jour cependant quelques envies émises depuis la France se doivent d’être comblées.
Parmi ces « caprices », la nourriture, les restaurants célèbres et plus particulièrement le « Genki Sushi ».
En attendant que Mr J rentre du travail et traverse notre bien aimé quartier d’Ikebukuro à pieds, les tâches quotidiennes se succèdent pour Mme A. Récupération de lettre après passage du facteur, optimisation de la lessive (afin d’éviter notre première erreur de surestimer la capacité de pendage de fringues dans l’appart^^), recherche d’emplois en tout genre…
C’est donc en fin d’après midi que nous nous dirigeons vers Shibuya pour tester le fameux « Genki Sushi », ce sushi bar version moderne où les plats arrivent à vous comme un train arrive en gare.
Si le concept et l’ambiance sont bons, le restaurant affiche complet la plupart du temps et il vous faudra un peu de patience et peut être un peu de chance pour y rentrer aux heures de pointe. Pour rajouter encore un peu plus à la hype de cette chaîne de restaurant, vous disposez de seulement 45 minutes pour manger avant de vous faire gentiment bousculer hors de l’établissement. Cela aura au moins un avantage, celui de ne pas trop se goinfrer et par extension de ne pas trop dépenser (les prix peuvent varier mais restent un peu au dessus de la normale).
Grâce à un petit jeu gagné pendant le dîner, Mme A repart avec une réduction pour un prochain repas. Mr J, lui, serait reparti avec le jouet ^^
Rassasiés, direction le Book Off pour récupérer quelques mangas à moindres frais (100 yens pour les plus anciens, c’est donné) puis retour sur Otsuka en profitant une dernière fois des illuminations et de l’agitation d’un Shibuya nocturne.
Samedi soir oblige, une chanson de Patrick Sébastien flottait dans l’air à l’approche du train et de ses dizaines de personnes agglutinés les uns sur les autres…
Ah qu’est ce qu’on est serrés au fond de cette boîte, chantent les sardines…chantent les sardines!