Jour de travail, sortie nocturne, on commence à connaître la chanson et au fil du temps on se rend compte qu’en moins de trois heures de temps il est difficile de créer l’excitation d’un day-off.
Mais le quotidien ne doit pas être une source d’ennui et il est de bon ton de se trouver ses petits plaisirs afin d’égayer ses soirées.
Aujourd’hui la touche tendresse se trouvait au Kitchen Seven, ce petit restaurant bon marché qui aurait pu devenir notre ultime bon plan si l’on avait pas trouvé de Saizeriya ces derniers jours.
Le temps d’un bon repas, le questionnement de la soirée: Quoi qu’on fait après? Une question existentielle qui trouva sa réponse dans la sagesse de Mme A. Aller faire du repérage pour des livres de japonais!
Car même si les bases du langage sont présentes pour notre duo, l’envie de parler japonais se fait vraiment ressentir notamment lorsqu’on y est quotidiennement confronté dans le monde du travail.
Ainsi donc nous avons enchaînés librairie et book off de notre quartier à la recherche d’ouvrages éducatifs mais sans jamais parvenir à trouver notre perle rare.
Déçus, le fait d’avoir trouver une « salle d’arcade » à Otsuka nous remonta brievement le moral…le temps de se rendre compte de l’état des machines.
L’heure avançant, pas question de rester sur un échec et direction Ikebukuro pour tenter notre chance du côté de Sunshine City.
L’affaire ne fut pas vraiment concluante il faut bien l’avouer mais la soirée ne fut pas perdue pour tout le monde puisque contre toute attente (et toutes les statistiques) Mme A, absorbée par une salle d’arcade, décrocha sa première peluche aux machines à pinces.
Partis avec un livre en tête, revenus avec un hamster vert, voilà qui résume assez bien nos soirées quotidiennes. Envie de bien faire, finir par faire n’importe quoi mais surtout se faire plaisir!