Jour de repos que ce samedi!
On traine à se lever mais pourtant il y a des choses à faire qui ne peuvent pas attendre.
Déjà se nourrir, pour le coup pas de miracle, quand la flemme est au plus haut, le combini est notre ami numéro 1.
Toujours présent quand il s’agit de distribuer les vivres aux plus démunis d’entre nous. Ramen, sandichs, melon pan, rien qui casse la baraque mais suffisament pour nous fournir l’énergie de la journée.
Avec beaucoup de mal, les yeux s’ouvrent enfin sur le chemin de la poste.
Le samedi c’est fermé mais les grandes postes, elles, sont ouvertes. Alors on jette un oeil à l’intérieur, on repère les lieux pour ne pas avoir trop l’air d’un touriste (à l’évidence c’est collé sur notre front).
On prend son courage à deux mains, on saisit un ticket et on attend…comme tous les locaux présents avec nous.
Viens le numéro 247, on respire profodément et c’est parti!
Tout d’abord, je vous conseille d’apprendre un peu de vocabulaire en fonction de ce que vous allez demander car même si on affiche clairement une tête d’étranger, l’anglais n’est pas de mise partout.
Après quelques incompréhensions, la demande fait son chemin. Des timbres OK! Des timbres à 70 yens OK! 30 timbres à 70 yens OK!
Au final plus de peur que de mal, trois minutes auront suffit pour avoir les timbres tant désirés.
A la maison ça sera donc 10 minutes de collage de timbres avant de s’attaquer à l’écriture ^^
C’est à Shinjuku que nous passâmes la soirée. Nous pas en mode débauche comme la plupart des gens du quartier mais pour un petit restaurant d’okonomiyakis des plus sympathiques, l’occasion de tester nos compétence de cuisson à la plaque et de savourer tout ça.
Une petite marche digestive à scruter les prix des différents karaoke du coin nous aura fait comprendre qu’on est jamais aussi bien servi que par chez soi!
De retour donc à Ôtsuka, un dessert à la main avant de vous dire bonne nuit.
Bonjour quel est le nom du restaurant d’Okonomyaki svp? C’est trop appétissant
Je serai incapable de te dire le nom puisqu’on s’y ai rendu de mémoire de nos premiers voyages.
Pour être un peu vague c’est à un coin de rue de la kabukicho dans les étages,on y monte par ascenseur. Si on y retourne je noterai le nom.