Alors qu’en France le dimanche est synonyme de journée morte, ici la vie bat son plein. Amis, familles, tous envahissent les rues et font tourner les commerces locaux.
Évidement, il ne faudrait mieux pas que les commerces comptent sur nous pour renflouer leurs caisses étant donné la maigreur de nos porte feuilles mais aucune loi n’empêche le touriste de baver sur les vitrines!
Et pour ce faire, rien de mieux qu’un petit tour à Harajuku et plus précisément Omotesando et son fameux champs elysée japonais.
Alors oui les grandes marques se succèdent et affichent leurs plus belles parures pour le bonheur des étrangers et des japonais plein aux as mais hormis cette débauche de luxe, la comparaison avec l’avenue parisienne s’arrête ici.
Tout d’abord, premier arrêt au Kiddy Land, un magasin à l’ambiance enfantine qui dégouline de kawaï pour regarder ce qui se fait dans l’univers des mascottes du Japon (Hello Kitty, Rirakuma…) ensuite promenade dans les rues adjacentes à l’avenue centrale car c’est bien là que le véritable shopping prend tout son sens.
Harajuku est quand même le quartier de la mode et ça, il ne faudrait l’oublier!
Pour celui ou celle qui aime la mode et le shopping, vos yeux ne sauront plus vers quoi regarder. Les boutiques se succèdent et visent rarement la même clientèle.
Classique, urban, rock, lolita, hip hop…oser dire qu’on ne trouve pas de vêtements à son style dans ce quartier serait juste de la mauvaise foi!
C’est donc au milieu d’une foule compacte que nous avançâmes dans l’après midi. Pas de dépenses en vue, juste respirer les odeurs et les couleurs du quartiers avant de se mettre en quête d’un petit resto.
Sukiya nous prit encore une fois quelques yens avec un excellent gyudon aux trois fromages et le dîner ne pouvait que se finir par une des fameuses crêpes sucrées d’Harajuku.
Avec pas mal de marche dans les pieds, revenir en kart semblait être une bonne idée, nous nous sommes donc arrêter à Ikebukuro pour tâter du mode solo et online de Mario Kart GP DX.