Voilà! ça c’est fait!
Nous sommes le 10 Novembre et encore plus qu’un lendemain de Noël, nous sommes comme des gosses en train d’attendre un mail…un mail de l’école de japonais à laquelle nous avons postulé.
Ce n’est pas rien puisqu’à la suite de cette réponse, c’est un peu plus d’un an de notre vie qui sera fixé et dédié à l’apprentissage de la langue japonaise. Dans le cas contraire, le retour en France sera inévitable à défaut d’être agréable!
Il aura fallu attendre la fin de la journée pour enfin être délivré de cette pression sur nos épaules et avoir la réponse tant attendu: Accepté!
Une fois le soulagement passé, l’effet kiss-cool de cette bonne nouvelle fut assez pénible bien que logique.
Parce qu’être accepté en tant qu’élève est une chose mais il ne faudrait pas oublier qu’une école de langue à Tokyo n’est pas une chose offerte avec le café du matin donc même si le plus dur est passé, le plus chiant reste à faire: payer l’année scolaire.
Dans ces cas là, on se débrouille comme on peut, avec qui on peut car ce choix que l’on fait, en plus d’être un atout professionnel, est avant tout un grand pas dans son développement personnel!
Ce qui va vraiment changer dans notre quotidien avant la rentrée du mois de janvier, c’est de ne plus pouvoir se trouver d’excuses quant à la révision du japonais.
Et oui, finit le conditionnel, l’école est un fait et son test d’entrée également!
Il va donc falloir se remettre à niveau, se donner à fond, en plus de ce qu’on a déjà sur la planche, pour briller un minimum fin janvier lors des tests. Avec un peu de chance, on serra tous les deux dans la même classe, sinon ça sera l’occasion de vous partager deux expériences différentes et pourtant complémentaires.