Le plaisir d’un spectacle, c’est avant tout son immédiateté, rester à ne rien faire si ce n’est profiter instantanément de ce qu’on nous offre.
Une bonne chose qui cache pourtant un travail souvent conséquent derrière la lumière des projecteurs.
Quand nous nous sommes lancé dans le projet « Japon365 », nous étions au courant que cela allait être énergivore mais qu’importe, le but était vraiment de partager une année et de proposer une sorte de journal de bord pour la famille mais également pour tous ceux et celles qui souhaitaient en apprendre un peu plus sur ce pays.
Là où nous avons peut être sous estimé le projet c’est au niveau du temps…
Parce qu’au Japon comme en France, les journées ne durent que 24 heures alors quand on doit ajouter à sa vie « normale », sa vie de « Youtuber », on ne rechignerait pas pour une pendule de 30 heures.
Bien entendu en se levant tous les jours très tôt et en préconisant les activités matinales, la partie vidéo journalière pourrait être bouclées en milieu d’après midi (si le temps de transport n’est pas trop long) maaaiiiss nan XD
Notre style à nous est éprouvé depuis pas mal de mois maintenant et consiste en une mécanique rodée et huilée:
– Tout d’abord se lever assez tard, grogner parce qu’on aurait pu se lever plus tôt.
– Regarder les activités disponibles le jour même, voir qu’il n’y a rien d’intéressant, grogner.
– Trouver quelque chose en milieu d’après midi, s’y rendre, passer du bon temps et rentrer avec le matériel vidéo à monter.
– Manger, se poser (trop longtemps) et attaquer le montage vers 23h, grogner.
– Faire trente mille choses à la fois, ne pas avancer dans le montage et les articles, regarder l’horloge, grogner.
– Publier tout ça, se coucher (trop tard) et recommencer la boucle.
Pour plus de piment, rajouter à tout cela, nos emplois du temps personnels chamboulés par nos jobs respectifs ^^
Une rengaine corsée mais qui nous permet de faire quelque chose qui nous tient à coeur!