#Japon365 – Jour 26 : Nakano Broadway

Il fallait bien que ça arrive un jour ou l’autre, on le savait et pourtant ça joue sur le moral quand ça survient, le jour de pluie est arrivé!

C’est tout bête mais quelques gouttes de pluie tombant du matin jusqu’au soir, ça chamboule pas mal l’exploration d’une ville.
Premièrement parce que visiter des sites en extérieur sous une averse c’est déplaisant, cela nuit à la magie des lieux et deuxièmement parce que personne n’aime se sentir comme un vieux chiffon détrempé.

Heureusement dans une grande ville comme Tokyo, il existe un certain nombre de galeries marchandes, spécialisées ou non, prêtes à accueillir les touristes.
Comme le classique n’a pas forcément grand intérêt en terme de divertissement, notre choix s’est porté sur le fameux Nakano Broadway, connu pour être un repère d’otakus en tout genre.
Mais avant de partir, petite pause Starbuck pour goûter la spécialité du moment, le sakura latte et son sakura chiffon cake. Sympathique mais sans prétention (comme à chaque fois avec le parfum sakura)!

Un tour de train et nous voilà à vagabonder entre les échoppes de mangas, de figurines, de modélistes, de poupées, j’en passe et des meilleurs…Trouver son bonheur est affaire de patience lorsqu’on ne connait pas les lieux mais cela laisse au moins le temps d’apprécier les différents décors qui nous entourent.
Passage au sous sol avec un air de super marché notamment du à ses magasins de nourriture, de vêtements et pause sucré avec la non moins célèbre glace à huit étages ^^
Pour moins de 5 euros et une bonne qualité, voici donc la pause obligatoire de Nakano Broadway.

Le seul point noir de cet endroit viendrait du manque de bornes d’arcade dernières générations mais les passionnés d’oldies trouveront quelques jeux de combats intéressants aux étages supérieurs.
Le reste des joueurs présents étant surtout friands de jeux « d’argent » style pachinko, courses de chevaux…

L’après midi Nakano Broadway se termina avec une bonne assiette de giozas et un retour sous une averse qui dura jusqu’à ce que nos yeux se ferment.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut