#Japon365 – Jour 14 : Repos, tout simplement

Cela fait un bien fou quand ça arrive! Il faut dire que jongler entre les petits boulots et les excursions, ça demande une bonne dose d’énergie et un entrain à toute épreuve malheureusement la jauge de vitalité à également besoin de se restaurer de temps à autre.

A force de bouger, on oublie les plaisirs simples. Se retrouver à la maison et ne rien faire d’exceptionnel, seulement se détendre et prendre le temps.
Se réveiller, comater pendant des heures, vérifier ses mails, rechercher des annonces de jobs, faire le point sur ce qu’il manque dans l’appart et puis partir en courses. Et c’est là que tout se complique!
En France, il n’y a pas vraiment de soucis, trouver un produit est un jeu d’enfant. Au Japon, la chasse aux consommables est un sport à part entière qui se divise en deux catégories.
Tout d’abord, les produits facilement trouvables mais dont on ne sais pas lire l’étiquette. Prenons par exemple le shampoing, facile d’accès dans la moindre petite épicerie ou « pharmacie » du coin seulement si on recherche un produit particulier, la galère commence. Comment savoir si le produit à bien les qualités qu’on lui demande? Soyons clair, à moins d’avoir un traducteur sous la main, il vous faudra repérer les moindres petits indices comme les dessins ou les photos des modèles. Ultime solution, opter pour une marque internationale ultra connue et ayant de forte chance d’avoir traversée la mer pour arriver au Japon.
Ensuite vient le produit introuvable alors que « c’est bizarre il devrait être ici normalement, y a tout pour la salle de bain! ». Pour ce cas précis, il n’y a pas trente six solutions. Vérifier sur internet ou avoir un éclair de lucidité et miser tout sur la chance.

C’est donc comme ça que nous nous sommes retrouvés à Ikebukuro en fin de soirée pour acheter un pèse personne. Alors il est quasi évident qu’on pouvait en trouver sur Otsuka mais la question était: Où?
Direction Bic Camera, le taulier de l’électronique pour faire une bonne pioche et enfin trouver l’objet convoité pour un prix raisonnable.
Avec ce froid pénétrant, traînasser dans le quartier n’était pas vraiment envisageable mais comme on dit « Il y a toujours de la place pour une salle d’arcade! » et puis quel meilleur moyen de terminer une soirée que de se retrouver dans une foule joyeuse avide de divertissement.

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