#Japon365 – Jour 236: Le pays des exclus

A croire que même lorsque l’on se prépare une journée tout ce qu’il y a de plus banale, le Japon arrive à nous surprendre.
Intrigué par le son des tambours assez proche de notre appartement durant la matinée, nous avons été les témoins d’un petit défilé sous nos fenêtres…et quand je dis sous nos fenêtres, c’était littéralement sous nos persiennes.

Pourtant, après quelques recherches sur le net, rien, aucun indice sur ce matsuri ou sa signification.
Dans la rue, des stands de nourriture mais surtout des stands de jeux façon fête foraine: Chamboule-tout, lance cerceau autour de bouteilles…squattés par les enfants du quartier.
A la suite de notre balade, un rassemblement de familles encourageant leurs enfants en train de porter un mini mikoshi.
apparemment tout cela était une sorte de kermesse de quartier, un évènement bien sympathique qui nous a redonné le sourire avant de nous diriger vers Akihabara.

Car la vraie raison de cette journée était en fait du côté du quartier de l’électronique et plus précisément de l’UDX où certains goodies étaient mis en vente pour la première fois.
Le coupable, Kojima Production.
La cible, Audrey.
Quand on connaît et partage des oeuvres pendant quasiment 10 ans de sa vie, se lâcher sur des goodies est une sorte de fatalité mais avant tout un petit plaisir coupable.
C’est ainsi qu’un T-shirt à 3000 yens a rejoint la collection des goodies nippons achetés depuis notre arrivée.

Il est évident que résister à l’achat de goodies au Japon est un travail de tous les jours lorsque l’on voit à quelle vitesse de nouveaux produits arrivent sur le marché.
Cela est encore plus vrai lorsque l’on voit qu’une grande partie de ces goodies sont des exclusivités qui ne quitteront jamais le sol japonais.

Décidément être passionné au Japon est vraiment une bonne chose, du moins lorsque l’on a un porte feuille bien rempli!

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